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Coronavirus : Comment lutter contre l’épidémie… de fake news

En plus de l’épidémie de Covid-19, il sied pour les citoyens du monde de faire plus attention à l’épidémie de fake news ou encore des fausses nouvelles qui semblent s’amplifier du jour au lendemain sur les réseaux sociaux à propos de cette pandémie. Quant à ce, il est donc important pour la rédaction Bisonews.cd d’informer au public le bien vouloir de rester sur leurs gardes en attendant les solutions pouvant éradiquer complètement le Covid-19, bien évidemment tout en respectant les mesures barrières qui s’affichent jusqu’à preuve du contraire comme le seul remède.
Il y a ceux qui pensent avoir trouvé des remèdes miracle contre la maladie, ceux qui sont toujours persuadés du grand complot des laboratoires pharmaceutiques ou encore ceux qui ne doutent pas que le Covid-19 est propagée par la 5G. Depuis le début de l’épidémie, le coronavirus fait l’objet d’un torrent de fausses informations ou d’informations déformées que les médias ont le plus grand mal à rectifier. Une fois de plus, cela passe par les réseaux sociaux, Facebook, Twitter ou YouTube. La difficulté, en plus, c’est que les fake news se répandent aussi par les messageries types WhatsApp, par SMS ou simplement par e-mails, c’est-à-dire des cercles privés d’amis ou familiaux. Ces messages ne sont visibles que par ceux qui les échangent.
Sachez repérer les fake news
Sur WhatsApp, il faut regarder la petite flèche qui se trouve en haut à gauche des messages transférés. Si c’est une double flèche, cela veut dire qu’il s’agit d’un message qui a fait l’objet d’un transfert massif à plusieurs personnes. Depuis huit jours, il n’est plus possible de retransférer ce genre de message à plus d’un groupe à la fois. WhatsApp a pris cette mesure pour limiter l’effet multiplicateur.
Facebook, Twitter ou YouTube essayent d’étiqueter, voire de supprimer, les informations erronées. Mais, entre Facebook qui a tendance à trop supprimer et Twitter qui laisserait encore passer 60% de fausses informations, on voit que ce n’est pas facile.
Si vous vous informez sur le Web, le site Sources de confiance, lancé par l’association Villes Internet, propose une extension pour navigateurs (Firefox et Chrome) qui permet d’identifier instantanément les sites publics, institutionnels et universitaires diffusant des contenus fiables.
Lire et réflechir
La meilleure protection restent le bon sens et l’esprit critique. Il faut se méfier des argumentaires simplistes et spectaculaires, qui prétendent révéler des scandales ou des complots. Beaucoup de fake news se repèrent grâce au vocabulaire employé (« Partagez en masse… Les médias n’en parlent pas… C’est un complot du gouvernement… Voici la vérité… Un ami bien placé m’a dit que… »).
Il convient de remonter au maximum à la source d’une information et de vérifier si cette source est fiable. Les moteurs de recherche permettent aujourd’hui de vérifier beaucoup de choses, à condition d’aller au bout de la vérification. Ce n’est parce qu’une information est largement partagée qu’elle est vraie. C’est même souvent le contraire.
Méfiance à l’égard des institutions
Le problème de la propagation des infox est profond. Il repose sur une méfiance généralisée à l’égard des autorités, des institutions et des médias, qui sont tous mis dans le même panier. La propagation s’appuie aussi sur des biais psychologiques, tels que le besoin d’être conforté dans ses certitudes.
Les fake news font appel à l’émotion au détriment de la réflexion. Ce mal menace potentiellement tout le monde, et pas seulement les moins éduqués. Seule une vigilance de tous les instants permet d’y faire face.
France info/ Bisonews.cd

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