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Roberto SISI KAYAN sur le fake news: « Nous devons récupérer notre profession volée ! »

Sous le haut patronage des autorités du département des Sciences de l’information et de la communication de l’Université Pédagogique Nationale-Upn, le site d’information  »Upn 7/7″ a organisé une conférence-débat qui a eu lieu ce samedi 1er février dans salle RT1 de ladite université. Au menu du jour, y a eu un thème principal qui a axé sur la : << vérification des informations et détection de fake news sur Internet >>.
Durant cet échange riche entre les professionnels des médias, les théoriciens en la matière et les apprenants en journalisme, chaque intervenant a abordé un sous-thème cadrant avec le sujet sous-examen. Pour sa part, le professeur Roberto SISI KAYAN, docteur en communication sociale et institutionnelle, et diplômé spécial en journalisme a brossé la question se rapportant au « journalisme citoyen ».
Dans son exposé, ce dernier a fait comprendre à l’auditoire que ledit concept voudrait signifier que tout citoyen peut devenir reporter et témoigner de son temps. Il a tout de même rappelé le danger qui court la venue de cette forme de journalisme. Car tout le monde écrit ce qu’il veut, que cela cadre avec la déontologie journalistique ou non.
D’où, il a qualifié ce comportement de  »l’autoroute de l’information ». Un concept qui a été d’ailleurs utilisé comme titre de son ouvrage publié récemment dans l’édition L’Harmattan. Par la même occasion, il a tenu à rappeler que le journalismec citoyen a le rôle de surveiller les actions des personnalités tant politique que célèbre.
Fort malheureusement, les personnes animées de la mauvaise volonté vont en l’encontre de l’idée initiale.  » Aujourd’hui, tout le monde écrit et publie ce qu’il voit et lu. L’on ne sait plus différencier le journaliste à un citoyen lambda. Les journalistes voient leur profession menacée par n’importe qui « , telle est une partie de son discours.
Face à cette triste réalité, il a demandé aux journalistes d’aller à la récupération de leur métier volé par les citoyens qui ne maîtrisent guère le domaine.
Quelques conseils à mettre en pratique…
Pour cela, il a prodigué quelques conseils au profit des étudiants en journalisme présents dans l’auditoire afin de ne pas tomber dans les mêmes erreurs que « les moutons noirs » autrement appelés « envahisseurs des médias ». Comme quoi, à en croire le conférencier, avant  de publier ou encore d’user de cette forme de journalisme, le journaliste doit identifier les éléments ci-après : vivre positivement le web, promouvoir un journalisme citoyen positif, autrement civique et participatif, formation continue pour l’intérêt propre au journaliste, intégrité et réapprochement, éducation et politique de l’information et enfin faire usage de bon sens.
Selon lui, si un journaliste se veut pratiquer le journalisme citoyen, celui-ci doit respecter les éléments cités ci-haut pour éradiquer le phénomène fake news qui se repend de plus en plus dans les médias en ligne. D’autant plus que cela jouerait sur la réputation du journaliste lui-même vis-à-vis de ses internautes.
Pour clôturer son discours, le prof. SISI a conseillé aux journalistes en ces termes :  » mieux vaut accepter de perdre son travail que de dire des mensonges« .

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