Suite aux controverses persistantes sur les ordonnances présidentielles du 17 juillet dernier, le professeur Nyabirungu Mwena Songa appelle les coalisés FCC-CACH a engagé un dialogue franc autour des ces ordonnances presidentielles.
Il a lancé cet appel au cours d’une conférence de presse tenue ce mardi 08 septembre 2020 à Kinshasa.
Pour cet enseignant de droit pénal, ces ordonnances qui « ont violé intentionnellement la Constitution et porté une grave atteinte à l’État de droit » menacent la paix et la cohésion sociale en RDC.
Il estime que pour éviter le chaos, l’implication de plusieurs autres institutions, tant au niveau national qu’international, à cet élan de solutions s’avère nécessaire.
Il sollicite l’implication des bureaux des deux chambres du Parlement, de la société civile, des confessions religieuses, du Conseil national de suivi de l’accord de la CENCO et de plusieurs autres organisations au niveau régional dont la CPGL et la SADC.
Il convient de rappeler que ces ordonnances présidentielles ont notamment porté sur les nominations des magistrats dans la magistrature civile et militaire.
Pour cet enseignant de droit pénal, ces ordonnances qui « ont violé intentionnellement la Constitution et porté une grave atteinte à l’État de droit » menacent la paix et la cohésion sociale en RDC.
Il estime que pour éviter le chaos, l’implication de plusieurs autres institutions, tant au niveau national qu’international, à cet élan de solutions s’avère nécessaire.
Il sollicite l’implication des bureaux des deux chambres du Parlement, de la société civile, des confessions religieuses, du Conseil national de suivi de l’accord de la CENCO et de plusieurs autres organisations au niveau régional dont la CPGL et la SADC.
Il convient de rappeler que ces ordonnances présidentielles ont notamment porté sur les nominations des magistrats dans la magistrature civile et militaire.