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États-Unis: Donald Trump risque une deuxième procédure de destitution

Les élus démocrates de la Chambre des représentants aux États-Unis vont déposer, lundi, une procédure visant à la destitution du président Donald Trump, a déclaré samedi leur représentant Ted Lieu.
Donald Trump pourrait se retrouver dès lundi sous le coup d’une seconde procédure de destitution, un développement sans précédent historique, alors qu’il ne montrait, samedi 9 janvier, aucun signe de vouloir démissionner ou se mettre en retrait après les violences du 6 janvier au Capitole.
Un texte de mise en accusation (« impeachment »), rédigé par des élus démocrates à la Chambre des représentants, reproche au président républicain d’avoir « délibérément fait des déclarations » qui ont encouragé l’invasion du bâtiment du Congrès par ses partisans.
Réunis par Donald Trump pour manifester contre la certification par le Congrès de la victoire de Joe Biden à la présidentielle, ils avaient ensuite fait irruption pendant la séance parlementaire. Des événements jamais vus à Washington et au cours desquels cinq personnes sont mortes, dont un policier.
Plusieurs figures de l’assaut ont été interpellées par la police et inculpées samedi d’intrusion illégale et conduite violente, notamment le complotiste Jake Angeli. Ce dernier, qui avait aimanté l’attention des photographes avec ses tatouages et son couvre-chef cornu, avait apporté une lance dans le temple de la démocratie américaine.
L’article de mise en accusation, signé par au moins 190 parlementaires selon l’élu démocrate Ted Lieu, affirme ainsi que Donald Trump a « gravement mis en danger la sécurité des États-Unis et de ses institutions de gouvernement ».
La décision de lancer cette nouvelle procédure de destitution reviendra une fois de plus à la puissante présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi. Elle a promis d’agir si le président républicain ne démissionnait pas immédiatement.
« Il est fou, déséquilibré et dangereux. Il doit partir », a-t-elle martelé, allant jusqu’à s’entretenir avec le chef d’état-major de l’armée américaine pour s’assurer que Donald Trump ne puisse pas utiliser les codes nucléaires.
« Je veux le voir partir. Il a causé assez de dégâts »
Reclus à la Maison Blanche, Donald Trump aurait fait savoir à ses proches qu’il n’avait aucune intention de démissionner, selon le New York Times.
Même dans le camp républicain, certains élus ont semblé ouverts à la possibilité d’un nouvel impeachment. Le sénateur Ben Sasse a ainsi affirmé qu’il examinerait les chefs d’accusation si la Chambre ouvrait une procédure de destitution.
Sans se prononcer sur une potentielle « destitution », une autre élue républicaine a appelé au départ de Donald Trump. « Je veux qu’il démissionne. Je veux le voir partir. Il a causé assez de dégâts », a déclaré la sénatrice modérée Lisa Murkowski.
De son côté, le sénateur républicain Pat Toomey a lui aussi estimé, sur CNN, que Donald Trump devait démissionner.
Plus isolé que jamais, alors que deux membres de son gouvernement ont démissionné, le milliardaire républicain s’est vu priver vendredi soir de son canal de communication favori, Twitter, mais n’a donné aucun signe de vouloir se faire discret.
« Nous ne serons pas réduits au silence », a-t-il répliqué après la suspension permanente de son compte Twitter via le compte officiel POTUS (Président des États-Unis), à l’attention des « 75 millions de patriotes » qui ont voté pour lui.
Donald Trump a même évoqué des représailles contre le réseau social qui « interdit la liberté d’expression » et le possible lancement de sa propre plateforme dans un futur proche, à travers une série de messages immédiatement retirés par Twitter.
« Museler la liberté d’expression est dangereux », a appuyé samedi le secrétaire d’État Mike Pompeo, fidèle de Donald Trump.
Une procédure n’ayant aucune chance d’aboutir
Au pouvoir depuis 2017, Donald Trump a déjà été visé au Congrès par une infamante procédure de destitution, ouverte par Nancy Pelosi fin 2019 sous l’accusation d’avoir demandé à un pays étranger, l’Ukraine, d’enquêter sur son rival Joe Biden. Il avait été acquitté au Sénat, à majorité républicaine, début 2020.
Pour que la nouvelle procédure de destitution aboutisse, il faudrait que le milliardaire républicain soit jugé coupable par les deux tiers du Sénat, ce qui n’a aucune chance de se produire avant la prestation de serment de son successeur Joe Biden, le 20 janvier.
Le chef des républicains au Sénat, Mitch McConnell, a d’ailleurs fait circuler un mémo stipulant qu’avec les règles actuelles du Sénat, aucun procès pour destitution ne pourrait avoir lieu avant l’investiture du président élu, à moins que la totalité des sénateurs n’autorisent une telle procédure.
Reste que le lancement d’un second « impeachment », laisserait une marque indélébile sur le bilan de Donald Trump : aucun président américain n’a subi ce déshonneur.
Le sénateur républicain Lindsey Graham, un proche de Donald Trump, a de son côté mis en garde contre une telle démarche qui risquerait de « détruire encore plus le pays », demandant à Joe Biden d’intervenir. « J’espère que vous ferez usage de votre pouvoir pour arrêter ça avant qu’il soit trop tard », a-t-il ajouté, s’adressant directement à Joe Biden, lors d’une intervention sur Fox News.
Se posant en pacificateur d’un pays ébranlé par les événements du Capitole, le président élu s’est bien gardé de prendre position sur cette question de l’impeachment. C’est au Congrès de décider, a-t-il dit.
Avec France 24

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