C’est fini les mensonges, la fourberie, la duperie, la calomnie et la jouissance des biens appartenant à autrui. Il n’y a pas meilleure réponse que celle de la justice qui vient de trancher définitivement en faveur de Pascal Beveraggi. La suite s’avère intéressante…
Toute décision de justice prise de manière définitive dispose de l’autorité de la chose jugée. Son exécution devrait couler de source, surtout dans un Etat qui se veut-être celui de droit. Ainsi, les parties devraient s’exécuter d’elles-mêmes. Dans le cas d’espèce, Moïse KATUMBI et tous ceux qui ont facilité sa dépossession des biens appartenant à Pascal Beveraggi devraient agir de bonne foi, une fois le jugement notifié. Encore une fois, les parties devraient s’exécuter d’elles-mêmes de bonne foi et on ne peut le répéter assez. Faute de le faire dans les délais exigés par la loi, l’Etat comme puissance publique devra agir en conséquence.
Le jugement afférent dont quelques feuillets sont produits ici n’appelle à aucun débat. Il y a cent jours pour le mensonge, mais un seul suffit à la vérité pour s’imposer. C’est le cas de figure qui se présente devant les congolais pris à témoin
Tout mensonge a ses limites. Un proverbe africain renchérit en ce terme: Le mensonge donne des fleurs mais pas de fruits. Quelle belle leçon de la vie… Ils ont menti et ont cru eux-mêmes à leurs mensonges au point de se donner des fleurs, mais la vérité de Pascal Beveraggi vient de produire des fruits. Sa victoire illustre bien cette situation. Et il était temps. Quelle belle leçon de la vie !!!
Dès lors que le camp Katumbi poursuit son attitude de déni de la vérité et ce, malgré la production du jugement dans l’affaire en référence, on fait le constat d’une démarche ridicule et suicidaire, de la part d’un candidat président de la république. Mais c’est sans conteste que l’affaire querellée entre les deux parties (Pascal Beveraggi et Moïse Katumbi) se solde de façon absolue par la victoire de Pascal Beveraggi.
L’on se rappelera qu’il fut un temps où les réseaux sociaux parlaient d’une victoire de Moïse Katumbi à la cour de cassation. Plusieurs ont demandé avec insistance la production de ce jugement et ils ont été incapables de le faire. Ce qui n’est pas le cas avec Pascal Beveraggi qui s’exécute à la première demande de la presse. Peut-on encore accorder un semblant de crédit au candidat président de la république Moïse KATUMBI ?
En revanche, la sérénité de Pascal Beveraggi tout au long de cette affaire ajoute de la crédibilité à sa personne. Ne dit-on pas que les justes ont l’assurance comme des jeunes lions?
Pour un dossier assez clair, certains n’ont pas manqué de manipuler l’opinion pour en faire un dossier politique, un dossier aux conctours flous. Ils sont aujourd’hui désemparés par une décision de justice dont les termes du jugement ne présentent aucune ambiguïté. Quel coup fatal!
La vérité étrangle le mensonge et la justice répare les cœurs brisés. Les congolais ont tout compris. Ce qui affirme cette pensée de Martin LUTHER KING : Dieu a les deux bras étendus. L’un est assez fort pour nous entourer de justice, l’autre assez doux pour nous entourer de grâce.
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