AccueilA la UneContacts suspects à...

Contacts suspects à l’étranger : Salomon Kalonda fait face à des accusations de trahison en RDC

Dans une affaire qui suscite un vif intérêt, Salomon Kalonda, une figure éminente, est aujourd’hui au centre d’accusations de trahison en République Démocratique du Congo (RDC). La justice militaire du pays allègue que Kalonda aurait, de 2020 à 2023, entretenu des liaisons équivoques avec des individus hautement placés, mettant en péril la sécurité nationale et compromettant l’intégrité du pays.

Parmi les noms évoqués dans cette affaire qui pourrait bien avoir des ramifications internationales, on retrouve des personnalités influentes :

1. Le Major Ngezi Fred : Assistant de Sultani Makenga, cet individu est au cœur de la tourmente, avec des allégations de communication régulière avec Kalonda.

2. Le Général Karuretwa Patrick : Conseiller principal du président Kagame, Karuretwa est pointé du doigt pour son implication présumée dans des discussions suspectes avec Kalonda.

3. Le Général Major Rubi Karusisi : En tant que commandant des forces spéciales RDF, Karusisi aurait été en contact avec Kalonda, soulevant des questions sur la nature de leur communication.

4. Le Général Major Alex Kagame : Les autorités enquêtent sur les liens présumés entre Kalonda et Alex Kagame, cherchant à élucider le but de leurs échanges.

5. Le Général Major Nzabamwito Joseph : En qualité de conseiller spécial en matière de sécurité pour le président Kagame, Nzabamwito se trouve dans la ligne de mire des enquêteurs pour son rôle potentiel dans ces échanges.

Les allégations spécifiques font état de tentatives présumées d’inciter à des hostilités dirigées contre la RDC. Les autorités congolaises soupçonnent que les communications entre Kalonda et ces personnalités aient pu servir à transmettre des informations sensibles à des acteurs rwandais non-officiels ainsi qu’à des éléments qualifiés de « terroristes ».

L’affaire suscite des interrogations quant à la nature exacte de ces communications et aux motivations sous-jacentes. Les autorités congolaises maintiennent que la trahison est un crime grave, portant atteinte à la souveraineté nationale et à la sécurité de la nation.

Il est important de souligner que les accusations portées contre Salomon Kalonda sont pour l’instant des allégations et que le processus judiciaire suit son cours. Les médias restent attentifs à l’évolution de cette affaire complexe qui pourrait potentiellement avoir des répercussions profondes à l’échelle régionale. Nous continuerons à surveiller de près la situation et à fournir des mises à jour au fur et à mesure que de nouvelles informations émergeront.

Soyez averti chaque fois que nous publions quelque chose de nouveau !

continuer la lecture

Conseil de sécurité : Kigali réaffirme son engagement de paix et pointe la menace FDLR en RDC

À New York, le 13 octobre, le Rwanda a réitéré son adhésion aux voies de paix, dont le processus de Washington, et demandé un appui constant, tout en dénonçant la présence des FDLR sur le territoire congolais.

Lourenço plaide pour un retrait rwandais et un dialogue interne en RDC

Luanda, 15 octobre — Le président angolais João Lourenço place la médiation au cœur de sa politique régionale et affirme que la levée des « menaces existentielles » pesant sur la RDC et le Rwanda ouvrirait la voie à une paix durable dans les Grands Lacs. Devant le Parlement, il a détaillé les mesures qu’il juge indispensables et rappelé l’implication de Luanda dans la facilitation du dialogue.

RDC : Kinshasa fustige le conclave de Nairobi autour de Joseph Kabila

Depuis Washington, Patrick Muyaya a dénoncé la rencontre des forces socio-politiques réunies autour de Joseph Kabila à Nairobi, parlant d’un rassemblement de « fugitifs » et de « condamnés ». Les participants ont, eux, annoncé la création du « Mouvement Sauvons la RDC » au terme d’un conclave tenu les 14 et 15 octobre à Nairobi.