GOMA, République Démocratique du Congo – Une journée qui restera à jamais marquée dans les mémoires, le mercredi 30 août, alors que plus de cent âmes innocentes ont été cruellement arrachées à la vie au cœur même de la ville de Goma. Les rues autrefois animées de cette métropole ont été le témoin silencieux d’une atrocité impensable, avec des individus abattus de sang-froid, touchés mortellement d’une balle à la tête ou au thorax.
L’horreur a été signée par l’apparition inquiétante des sigles FDLR, laissant ainsi leur empreinte funeste sur cette scène de carnage. Les témoignages poignants et les preuves irréfutables confirment l’implication des soldats de la Garde Républicaine dans cette tragédie insoutenable. Ce qui s’est déroulé dans les rues jadis paisibles de Goma transcende l’entendement, se présentant comme un sombre témoignage de la cruauté inhumaine au sein du régime Tshisekedi.
Dans un communiqué ferme, Corneille Nangaa, voix éminente du pays, a dénoncé cette manifestation choquante de violence sans précédent. Il a souligné que cette armée infiltrée, agissant avec une intention macabre, trahissait les valeurs les plus fondamentales de l’humanité. L’idée qu’un Congolais puisse orchestrer une telle extermination de ses propres compatriotes de manière aussi atroce est impensable et insupportable.
L’ampleur de ce carnage soulève des questions déchirantes. Tout porte à croire que cet acte odieux était planifié de longue date, ce qui en dit long sur la sauvagerie qui se cache derrière le voile de ce régime. Corneille Nangaa ne mâche pas ses mots, dénonçant cette vague inacceptable de violence comme une énième preuve des ténèbres qui règnent au sein du pouvoir actuel.
Les questions fusent : Qui a donné l’ordre de cette horreur indicible ? Qu’est-ce qui a poussé la Garde Républicaine à intervenir de manière aussi brutale lors d’une marche citoyenne ? Les critiques à l’égard de Tshisekedi ne sont plus feutrées, le bilan de sa gouvernance est désormais sous les projecteurs, étalé devant l’opinion publique qui exige des réponses, ainsi que des comptes à rendre.
En fin de compte, alors que les rues de Goma se remettent lentement de cette tragédie, une chose demeure claire : la quête de vérité et de justice est inévitable. La nation congolaise, profondément meurtrie, ne se laissera pas apaiser par des paroles creuses. La lumière devra être faite sur ce qui s’est réellement passé ce jour-là, et les responsabilités devront être établies. Le cri du peuple de Goma résonne désormais dans tout le pays, porteur de la détermination à faire en sorte que de tels événements ne se reproduisent jamais.