Au milieu de cette scène funeste, des cercueils portant l’inscription macabre « inconnu » ne sont pas le résultat de l’obscurité de la victime ou de l’absence de famille, mais le triste reflet de familles empêchées d’identifier leurs êtres chers.
Dans cet acte abominable contre l’humanité, nous, en tant que société, ne pouvons rester silencieux. Les responsables de cette tragédie, à la tête desquels se trouve Constant NDIMA et ses complices, devront rendre des comptes pour leurs actions.
Ce sombre chapitre de notre histoire ne peut être écrit sans justice. Nous nous élevons contre cette injustice et exigeons que la lumière soit faite sur ces événements choquants. La Lucha se dresse en première ligne pour défendre la vérité et la dignité humaine.
Nous restons résolus à poursuivre notre quête de justice, en rappelant au monde que de tels actes ne peuvent être tolérés. Notre deuil collectif devra trouver une réponse dans une enquête rigoureuse et une action judiciaire appropriée.