L’aéroport international de N’djili à Kinshasa a été le théâtre d’une arrestation choquante et illégale. Salomon Kalonda, conseiller spécial du candidat opposant à la prochaine élection présidentielle, Moïse Katumbi, a été appréhendé alors qu’il s’apprêtait à quitter la capitale congolaise.
Cette détention arbitraire et sans fondement juridique de mon conseiller spécial, Salomon Kalonda, à l’aéroport de N’djili, relève d’un enlèvement crapuleux. Cette situation est inacceptable et marque la fin de l’État de droit. Pourquoi est-il détenu ? Où l’ont-ils emmené ? Les autorités doivent s’expliquer et le libérer immédiatement, déclare Moïse Katumbi, visiblement indigné par cette situation.
Ce n’est malheureusement pas la première fois que des acteurs politiques sont enlevés pour les réduire au silence, une pratique condamnable qui rappelle les pratiques dictatoriales. Après l’enlèvement de mon collaborateur OMELONGA_LENS1, détenu depuis plus de 30 jours à l’ANR (Agence Nationale de Renseignements), je déplore aujourd’hui celui de Salomon Kalonda à l’aéroport de N’djili, s’indigne Delly Sesanga.
L’information vient de me parvenir : Salomon Idi Kalonda, l’un des collaborateurs les plus proches de Moïse Katumbi, a été enlevé en plein aéroport de Kinshasa par des hommes en tenue civile à bord d’un pick-up double cabine. Je m’insurge contre cette dictature et demande sa libération immédiate, dénonce Matata Ponyo, visiblement révolté par cette situation.
Je condamne fermement les circonstances de l’arrestation de M. Salomon Kalonda Della, proche collaborateur de Moïse Katumbi, à l’aéroport de N’djili à Kinshasa, car elles portent atteinte à l’article 17 de la Constitution. J’exige sa libération immédiate et une enquête judiciaire crédible, insiste Georges Kapiamba, soucieux du respect des droits fondamentaux.
La situation actuelle en RDC est alarmante, avec des activistes emprisonnés, des opposants politiques arrêtés, des manifestations réprimées, des manifestants pacifiques brutalisés, des déplacements d’opposants bloqués, et les auteurs de la répression qui sont promus et félicités. Il est grand temps de mettre fin à cette démocrature sous Tshisekedi, clame Lucha RDC, déterminé à lutter pour les droits du peuple congolais.
L’arrestation brutale et illégale de Salomon Kalonda est un exemple supplémentaire de la dérive dictatoriale qui sévit actuellement en RDC. La restriction des libertés publiques et les agissements arbitraires font reculer notre pays. Nous assistons aux signes avant-coureurs d’un régime sur le déclin, déplore Martin Fayulu, témoignant de l’inquiétante situation politique.
Arrêter brutalement le collaborateur d’un responsable politique dans le but d’atteindre ce dernier est un acte d’une lâcheté méprisable. Cela donne une image sombre du pays et discrédite davantage ses institutions. Il est évident que le pouvoir du président Tshisekedi, porté par l’Union qui se dit sacrée, a choisi la voie la plus courte : celle qui précipite du mauvais côté de l’histoire, impose la terreur, restreint les libertés publiques, pollue la vie politique et exacerbe les tensions. J’en appelle à la libération immédiate de Salomon Kalonda, lance Lubaya Claudel, en faveur du respect des droits de l’homme.
Ce spectacle est atterrant ! L’interpellation indigne subie par SK Della montre un manque total de respect pour la démocratie. Pourquoi cette dérive totalitaire ? Nous exprimons notre solidarité envers Moïse Katumbi. Il y a tant d’interdictions et de restrictions dangereuses ! Cette faute est absolument condamnable, dénonce Corneil Nangaa, avec une pointe d’ironie face à la situation actuelle.
Dans cette affaire, il est primordial de respecter les droits fondamentaux, de garantir l’État de droit et de préserver les libertés publiques. Les responsables doivent répondre de leurs actes et libérer Salomon Kalonda sans délai. La RDC a besoin d’un avenir basé sur le respect des droits de l’homme, la justice et la liberté.