A kimwenza dans la commune de Mont Ngafula, le champs reste l’activité principale, surtout la culture des légumes pendant cette période de crise sanitaire.
Elvine Mpembe, une des agriculteurs de cette partie de la ville précisément au quartier Cité de Baudoin sur l’avenue de la gare, nous a expliqué son intérêt à la passion du champ. Étudiante à l’Université de Kinshasa en pétrole et gaz, elle a décidé de passer son moment de confinement dans son jardin de légumes.
« Toutes les activités sont suspendus, le travail , les études,…la seule activité à la quelle je fais recouri c’est le champs. Je dois aussi subvenir à mes besoins étant que femme. Je travaille ici pour y arriver en gagnant quelques choses. On nous dit de rester chez nous, mais nous pouvons y rester en travaillant et en produisant » a dit Evelyne.
Elle a décidé de mettre en valeur le terrain que la famille a acheté en y pratiquant l’agriculture quoi qu’elle ne soit pas du domaine. Il faut ni ici que plusieurs agriculteurs de kimwenza ont un problème foncière très sérieux, selon nos différents témoins. La plus part travaillent sur les terres d’autrui et sont exposés à des désavantages ne le permettant pas à profiter de leur travail.
Cette zone marécageuse permet de se procurer facilement de l’eau pour arroser régulièrement les légumes et assurer leurs croissance rapide.
» L’agriculture n’exige pas une quelconque saison pour semer, c’est plutôt les plantes qui ont les préférences des saisons. Il est donc question des techniques employées pour adapter les variétés des légumes à leurs saisons. C’est le cas des maïs et arachides qui sont souvent semer en période de pluie. Mais si l’on a suffisamment de l’eau, la saison importe peu pour ces deux cultures » , a confirmé Elvine.
L’expérience qu’elle a acquis de sa mère qui a fait l’agronomie à l’université de Loyola, la permet d’exercer l’activité de champ. Une fois qu’elle produit, le prix de vente est fixé en tenant compte de la longueur de la plate bande (Mukala) et les dépenses faites. Parfois une plate bande assez longue varie entre 25 à 30 000 franc congolais.
Selon les experts, 10 hectares de Gombos peuvent produire millions de francs congolais à chaque production.
Pour elle, le domaine agricole doit être mise en valeur en République Démocratique du Congo. La preuve en ai que en ai que, dans cette période où presque toutes les activités sont suspendus, il est difficile de s’approvisionner en nourriture surtout que plusieurs congolais vivent au taux du jour. « Si nos terre était bien exploité, nous ne ferions pas recour à l’aide extérieure », a conclu Elvine Mpembe.
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