Révélation d’une fraude de...

L'Autorité de Régulation des Sous-traitances Publiques (ARSP) a récemment mis à jour un réseau de prête-noms orchestrant une fraude évaluée à 535 millions de dollars américains...

Isangi face aux défis...

Le débordement récent du fleuve Congo et de ses affluents a plongé les communautés de Basoko, Isangi et Yahuma, dans la province de Tshopo, dans une crise humanitaire grave. Les inondations ont non seulement détruit des habitations mais ont également submergé

Décisions imminentes de la...

Ce jeudi, la Cour constitutionnelle de la République Démocratique du Congo est sur le point de rendre des décisions cruciales concernant les élections législatives nationales. Leur verdict, attendu le 18 avril

La Belgique renforce son...

La Belgique a réaffirmé son engagement à soutenir la République Démocratique du Congo (RDC) dans ses efforts pour restaurer la paix dans la région tumultueuse de l'Est du pays. L'ambassadrice belge en RDC, Roxane de Bilderling
AccueilEn continuCovid19Enquête sur la...

Enquête sur la Chine : << Pour l'instant, il faut se serrer les coudes" face à l'épidémie, "les investigations viendront après >> (Sylvie Briand)

Une soixantaine de pays, dont ceux de l’Union européenne, veulent profiter de l’Assemblée mondiale de l’OMS qui a débuté lundi 18 mai 2020 pour réclamer une enquête sur la gestion de l’épidémie par la Chine.
La Chine devra peut-être s’expliquer devant la communauté internationale sur le coronavirus.
« Pour l’instant, il faut se serrer les coudes » face à l’épidémie, dit mardi 19 mai sur franceinfo, Sylvie Briand, directrice de la préparation mondiale pour les épidémies à l’OMS, « les investigations viendront après« .
franceinfo : La Chine a t-elle des choses à se reprocher ?
Sylvie Briand : Au début de l’épidémie, il y a toujours beaucoup de flou. C’est très difficile de remonter l’origine de la transmission. Je pense que quand le pic de cette pandémie sera passée, les Etats membres demanderont à ce que l’on refasse l’analyse des premières données. Mais au début de toutes façons, il y a eu déjà des mesures très strictes prises par la Chine pour éviter que l’épidémie n’arrive dans les autres pays. Ils avaient déjà mis des contrôles très stricts aux frontières. Comme on l’a vu, c’est un virus qui est difficile à contenir puisqu’il y a des gens qui sont asymptomatiques et qui peuvent quand même transmettre le virus. C’est un peu ça le problème avec ces virus d’origine animale. Quand on ne les connaît pas, c’est extrêmement difficile de savoir si les mesures seront suffisantes ou pas.
Au début de l’épidémie, l’OMS avait envoyé une équipe sur place et elle n’a eu ni accès au marché de la ville, ni au laboratoire. Aujourd’hui, le pays vous semble prêt à ouvrir grand ses portes ?
Il y a eu d’abord une équipe de l’OMS qui est partie en janvier, mais qui était notre « bureau-pays » et elle a pu aller à Wuhan. Mais effectivement, la deuxième équipe qui est allée en Chine en février, au moment où il y avait le confinement complet à Wuhan, n’a pas pu aller sur place. Je pense que c’était un peu à chaud. On espère maintenant qu’on pourra avoir accès à toutes les données à distance.
La Chine est l’un des premiers contributeurs de l’OMS et est régulièrement soupçonnée de tirer les ficelles de l’organisation. Est-ce que l’OMS, n’est pas juge et partie ?
On est financé par tous les Etats membres. Ce qui caractérise l’OMS, c’est justement d’essayer d’être le plus neutre possible. Et en ce moment, il y a effectivement énormément de tensions entre certains de nos Etats membres. On essaye vraiment de jouer plutôt la carte de la coordination, de la solidarité, que tous les pays soient ensemble pour lutter contre cette crise et pas rentrer dans des luttes partisanes qui n’aideraient personne au moment de cette pandémie. Vous pouvez interpréter les propos de la Chine comme vous le souhaitez. J’ai assisté aux discussions hier (lundi) de nos Etats membres, la plupart des États membres ont dit qu’il fallait absolument qu’on soit tous ensemble dans cette crise et qu’il y aurait donc des investigations qui seraient faites. Même l’OMS a accepté qu’il y est justement une revue de toutes les actions et de toutes les décisions qui ont été prises. Mais tout le monde a jugé qu’il était pour l’instant temps, de vraiment se serrer les coudes et de lutter ensemble contre ce virus.

France TV Info/ Bisonews.Cd

Soyez averti chaque fois que nous publions quelque chose de nouveau !

continuer la lecture

RDC : Jeannot MUBENGA demande à FATSHI de contraindre les réseaux de téléphonie mobile à restituer les unités coupées et réparer les dégâts causés

Cher Président FATSHI, d'emblée je m'en vais vous dire merci pour avoir suspendu cette escroquerie de RAM. Ceci prouve que vous êtes à l'écoute de la population. Cher Président, les dégâts causés par cette redevance sont déjà énormes, et peut-être...

Kinshasa-Renforcement des capacités des communicateurs : CeFoRCE organise une formation pratique sur la «conception du plan de communication»

Dans le cadre de contribuer à la formation des communicateurs et apprenants de la science de la communication, le Centre de Formation et de Recyclage en Communication des Entreprises (CeFoRCE) organise une formation pratique qui portera particulièrement sur la...

RDC : «L’état de siège : ce qu’il ne faut pas accepter» (Papy TAMBA)

La notion de l'état de siège tire son origine des concepts qui entourent des pratiques dictatoriales. Comparé dans une certaine mesure à la loi martiale, l'état de siège transfère les pouvoirs civils aux militaires. Il restreint aussi les libertés...