Le monde célèbre le 03 Mai de chaque année, la journée mondiale de la liberté de la presse. Proclamée par l’Assemblée générale des Nations unies en 1993 sur recommandation de la Conférence générale de l’UNESCO, cette journée permet de faire le point sur la liberté d’expression dans le monde et rendre hommage aux journalistes qui ont été attaqués ou ont perdu la vie dans l’exercice de leur profession.
Pour la directrice générale de l’UNESCO, l’information est un droit fondamental. Et face au COVID-19, l’information peut sauver des vies.
« Je tiens à rendre hommage aux journalistes, femmes et hommes qui s’engagent et prennent des risques pour nous tenir informés « , a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO.
« Leur travail est plus important que jamais car ils aident le public à savoir comment agir et les gouvernements à prendre des décisions en connaissance de cause « , a-t-elle ajouté.
À cette occasion, l’UNESCO et sa Directrice générale, Audrey Azoulay, organiseront un débat en ligne sur l’importance des médias libres pour fournir au public une information indépendante et fiable, essentielle en temps de crise.
Le dialogue de haut niveau sur la liberté de la presse et la lutte contre la désinformation dans le cadre du COVID-19 sera diffusé en ligne le lundi 4 mai à 17 heures, heure française (TU+2) via les réseaux sociaux de l’UNESCO.
Le débat portera sur le danger de ce que M. Guterres a décrit comme étant « une dangereuse épidémie de désinformation ».
Il s’agira de défendre la nécessité d’une presse libre pour contrer les fausses nouvelles qui mettent des vies en danger et sapent la réponse à la pandémie de COVID-19 en promouvant de faux remèdes, des théories du complot et des mythes.
Créer un compte
Bienvenue! s'inscrire pour un compte
Un mot de passe vous sera envoyé par email.
Récupération de mot de passe
Récupérer votre mot de passe
Un mot de passe vous sera envoyé par email.