C’est depuis le 30 avril dernier qu’un rapport du Centre Neuro Psycho Pathologique-CNPP avait annoncé que Zacharie Badiengila, alias Ne Mwanda Nsemi et chef du secte politico-religieux Bunda Dia Mayala souffre d’un trouble mental « sur fond de stress à répétition« . À la suite de ce résultat, sa seconde épouse explique que cette souffrance est liée au manque d’affection des enfants de ce dernier.
La communication de la seconde épouse de Ne Mwanda Nsemi dans une vidéo depuis sa chambre au CNPP relate l’histoire qui lie le résultat des examens médicaux à l’état de la personne. Cette dernière affirme que sa première femme l’a quitté alors qu’ils avaient eu 10 enfants et a par la suite recommandé aux enfants de ne plus se rendre chez leur père qui est Ne Mwanda Nsemi.
À l’en croire, ses enfants l’ont abandonné à son triste sort. Le Président du Conseil national de suivi de l’Accord-CNSA, Joseph Olenghakoy est celui qui lui vient au secours sur le plan financier.
Notons que Ne Mwanda Nsemi a été arrêté dans sa résidence située à Macampagne, abritée dans la commune de Ngaliema en date du 24 avril et est à présent au CNPP pour une prise en charge médicale avant une quelconque comparution en justice sur les faits dont il et accusé. Notamment l’incitation à la haine tribale, atteinte à la sûreté nationale et la rébellion.
La communication de la seconde épouse de Ne Mwanda Nsemi dans une vidéo depuis sa chambre au CNPP relate l’histoire qui lie le résultat des examens médicaux à l’état de la personne. Cette dernière affirme que sa première femme l’a quitté alors qu’ils avaient eu 10 enfants et a par la suite recommandé aux enfants de ne plus se rendre chez leur père qui est Ne Mwanda Nsemi.
À l’en croire, ses enfants l’ont abandonné à son triste sort. Le Président du Conseil national de suivi de l’Accord-CNSA, Joseph Olenghakoy est celui qui lui vient au secours sur le plan financier.
Notons que Ne Mwanda Nsemi a été arrêté dans sa résidence située à Macampagne, abritée dans la commune de Ngaliema en date du 24 avril et est à présent au CNPP pour une prise en charge médicale avant une quelconque comparution en justice sur les faits dont il et accusé. Notamment l’incitation à la haine tribale, atteinte à la sûreté nationale et la rébellion.