Lors de l’audience de ce jeudi 11 juin consacrée à la plaidoirie, le prévenu Kamhere a déclaré dire à sa femme qu’il a été condamnée d’avance, dès le début du procès 100 jours.
« Je disais à ma femme, dès le début de ce procès, que je suis condamné d’avance », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter : » je lui ai demandé de préparer d’avance les enfants à ma condamnation car la vraie justice viendra de Dieu »