AccueilA la UneRDC: l'APLC met...

RDC: l’APLC met à la disposition de son personnel un code de bonne conduite intitulé « le livre blanc de l’employé »!

L’Agence de Prévention et de Lutte contre la Corruption (APLC), a mis à la disposition de ses agents, un document intitulé « le livre blanc de l’employé ». Et ce, afin de renforcer  la culture d’intégrité en interne et instaurer une culture institutionnelle forte.
Cet outil permettra au personnel de se familiariser avec l’agence : sa philosophie de gestion, ses valeurs, ses politiques et procédures, etc.
A en croire la Directrice de la communication de l’APLC, Mme Chouna Lomponda, il était important pour le coordonnateur que les agents soient sensibilisés en première ligne et soient enseignés sur l’intégrité et instaurer une culture forte.
La culture institutionnelle de l’Agence de Prévention et de Lutte contre la corruption se caractérise par la confiance; l’intégrité et l’honnêteté; l’Excellence; la rapidité de réaction; la coopération; le respect; le plaisir; la concentration; la transparence et l’audace.
Pour ce qui est du code d’éthique de l’APLC, un employé ne peut recevoir directement ou indirectement, un présent, cadeau ou gratification quelconque de la part d’un fournisseur, d’un visiteur, d’un hôte démarque sans que ce geste n’ait été approuvé au préalable par la direction ; un employé doit toujours être soucieux de préserver la confidentialité des informations dont il prend connaissance dans l’exercice de son travail ; un employé ne doit pas utiliser à son profit personnel les biens de l’APLC; tous les gestes d’affaires de l’agence doivent être faits d’une manière intègre et avec le souci de mettre en évidence sa volonté d’être un citoyen intègre, respectueux et responsable ; un employé doit déclarer toute situation qui pourrait éventuellement être interprétée comme un conflit d’intérêts réel ou potentiel ; en terme d’éthique professionnelle, le vouvoiement est de rigueur envers les visiteurs, fournisseurs, hôtes de marques,…
Par ailleurs, ce code de bonne conduite comporte également des attitudes à adopter face aux présents et gratifications, les codes des tenues vestimentaires, la politique de discrimination ou de harcèlement, Etc.
Il y a lieu de rappeler que l’APLC est l’autorité de référence en matière dd lutte contre la corruption en République Démocratique du Congo. Elle coordonne tous les services et organismes publics en charge de la lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux, la criminalité organisée et les infractions y assimilées.
Cette Agence de Prévention et de Lutte contre la Corruption a vu le jour par l’ordonnance n° 20/013 datée du 28 mars 2020, portant d’abord sur sa création, son organisation et son fonctionnement.

Soyez averti chaque fois que nous publions quelque chose de nouveau !

continuer la lecture

Coopération sécuritaire : la RDC privilégie un partenariat bilatéral avec la Chine face à l’inaction de l’EAC

La République Démocratique du Congo a récemment pris une décision stratégique en matière de coopération internationale, en refusant de signer le Mémorandum d'Entente sur la coopération policière avec les pays de l'Afrique de l'Est et la Chine. Cette annonce, faite lors d'une rencontre à Beijing, témoigne de la frustration de Kinshasa face à l’inaction de l’organisation sous-régionale EAC (Communauté d'Afrique de l'Est) concernant l'agression rwandaise.

RDC: découvrez la qualité des intervenants de la 8eme édition d’expo béton RDC à Kinshasa

La 8ème édition d'Expo Béton RDC, prévue à Kinshasa du 9 au 12 septembre 2024, s'annonce comme un événement majeur pour le secteur de la construction et de l'urbanisme en République Démocratique du Congo.

Massacre au centre pénitentiaire de Kinshasa : le Mouvement Social dénonce une dérive autoritaire (Communiqué)

Le Mouvement Social (MS), dans un récent communiqué, a réagi avec une profonde indignation à la suite des événements tragiques qui ont secoué le Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK) le 2 septembre dernier. Le mouvement dénonce un massacre barbare perpétré par les forces de l’ordre sur des prisonniers non armés, causant la mort brutale de 129 détenus, dont une grande partie n’avait pas encore été jugée.