Dans un acte de violence choquant, survenu ce dimanche 27 août, les miliciens du groupe Codeco ont perpétré une attaque meurtrière contre le paisible site de pêcheurs de GOBU, situé dans la région de la Chefferie des Bahema Nord en Ituri, en République Démocratique du Congo. Les conséquences de cette attaque sont tragiques, avec un bilan initial de 14 personnes ayant perdu la vie. Cette vague d’horreur a été déclenchée par une première incursion des miliciens dans une église locale, suivie par des assauts brutaux contre d’autres civils innocents.
Les détails glaçants de l’incident ont été relatés par des sources locales, témoins impuissants de cette violence aveugle. Les miliciens, appartenant au groupe connu sous le nom de Codeco, ont lancé leur attaque dans la Chefferie des Bahema Nord, semant la terreur parmi les habitants pacifiques de la région. L’église locale, lieu de prière et de réconfort, a été prise pour cible en premier lieu, démontrant un mépris choquant pour la sanctité des lieux de culte et la vie humaine.
Après avoir pris d’assaut l’église, les miliciens ont ensuite dirigé leur violence impitoyable vers d’autres secteurs de la chefferie. Des civils sans défense ont été pris pour cible, leur sécurité compromis dans cet acte lâche et barbare. L’ampleur de la violence et la nature coordonnée de l’attaque soulèvent des questions alarmantes sur les motifs et les intentions des assaillants.
Les autorités locales et nationales ont rapidement réagi à cette tragédie, condamnant fermement cet acte de violence gratuit. Une enquête a été lancée pour identifier les auteurs de cette attaque et pour comprendre les raisons qui ont motivé un tel acte de cruauté. Les habitants de la région, quant à eux, se retrouvent plongés dans la douleur et la peur, cherchant des réponses à un événement traumatisant qui a changé leur vie à jamais.
Cette attaque impitoyable à GOBU met en évidence l’urgence d’une réponse coordonnée pour contrer les groupes armés et rétablir la sécurité dans les régions touchées par la violence. Les communautés locales aspirent à la paix et à la sécurité, espérant un avenir où de tels actes de barbarie ne sont plus qu’un sombre souvenir. En cette période de deuil et de réflexion, il est crucial que les autorités continuent à œuvrer sans relâche pour prévenir de futures tragédies et pour traduire en justice ceux qui sèment la terreur au sein de la population civile innocente.