Par Horty Kamete, Journaliste Bisonews.cd
Kisangani, le [Date] – Monsieur Jean-Claude Pandatimu, un éminent professeur de droit à l’Université de Kisangani et représentant de tricom/Kisangani, se retrouve aujourd’hui au centre d’une controverse majeure suite à des allégations de maltraitance cruelle envers son ex femme. Cette affaire a secoué la paisible ville de Kisangani, suscitant un tollé général et un appel pressant à l’intervention de la justice.
La scène, capturée dans une vidéo devenue virale et partagée massivement sur les réseaux sociaux, est à la fois choquante et dérangeante. On peut y voir des membres des forces de l’ordre traiter une femme de manière inhumaine, la ligotant de manière dégradante et la comparant à une chèvre. Les images ont choqué la conscience publique et ont immédiatement suscité l’indignation de la communauté.
Face à cette situation intolérable, de nombreuses voix se sont élevées pour condamner l’acte présumé de Monsieur Pandatimu. L’Institut congolais de droit a appelé la Ministre de la Justice, Madame Rose Mutombo, à prendre des mesures légales à l’encontre du professeur et juge. Dans un tweet, Monsieur Firmin Yangambi a déclaré : « Le juge doit être convoqué par la justice, suspendu préventivement de ses fonctions de juge et de professeur d’université. » De même, Jocelyne Angelani Neema a exprimé son indignation en qualifiant cet acte de « tout simplement inadmissible« .
Il est clair que la justice doit prendre rapidement en charge ce dossier et agir avec fermeté. Le professeur Jean-Claude Pandatimu doit être jugé en flagrant délit pour les allégations de maltraitance cruelle envers son ex-femme. Il est impératif de réparer cette injustice et de faire face à cet acte odieux avec les mesures appropriées.
En ces moments troublants, la communauté de Kisangani et au-delà attend des actions concrètes de la part des autorités judiciaires pour garantir que la justice soit rendue. Cette affaire rappelle l’importance cruciale de la protection des droits et de la dignité des individus, quel que soit leur statut social.