Dans une récente prise de parole, le Président Félix Tshisekedi a tenu à mettre en lumière l’efficacité et la rigueur de l’Inspection Générale des Finances (IGF), sous la houlette de Jules Alingete, dans son rôle de gardien vigilant des finances publiques. Lors d’une allocution marquée par la présence de figures importantes, le chef de l’État a utilisé une métaphore frappante pour décrire l’action de l’IGF : un « chien méchant » prêt à donner de la voix au moindre signe d’irrégularité financière.
Cette comparaison audacieuse souligne la détermination de l’IGF à combattre les dérives financières et à assurer une gestion transparente et responsable des ressources de l’État. Le président Tshisekedi, en évoquant cette image, réaffirme son engagement envers la lutte contre la corruption et son soutien indéfectible à Jules Alingete, dont la direction de l’IGF a été marquée par des actions significatives contre les malversations financières.
Il est important de rappeler que ce n’est pas la première fois que le président exprime publiquement son admiration pour le travail réalisé par l’IGF. En septembre 2023, lors d’une conférence de presse à New York, Félix Tshisekedi avait déjà salué les efforts de l’organisation dans la prévention de la corruption et la bonne gestion des finances publiques, notamment à travers la révision de contrats d’envergure, comme celui lié aux partenariats chinois.
La reconnaissance par le chef de l’État du rôle crucial joué par l’IGF et son dirigeant dans la préservation de l’intégrité financière du pays est un signal fort. Elle témoigne de la volonté du gouvernement de poursuivre sur la voie de la transparence et de la responsabilité, essentielles pour le développement économique et social de la nation.
Jules Alingete, à la tête de l’IGF, incarne cette nouvelle ère de gouvernance, où la vigilance et l’intégrité sont au cœur des préoccupations. Sa gestion, qualifiée de « brillante » par le président, est un exemple de l’engagement des institutions du pays à œuvrer pour un avenir où la probité et l’efficacité financière sont la norme.
La lutte contre la corruption et la mauvaise gestion des fonds publics est un défi constant pour de nombreux pays. L’approche adoptée par l’IGF, soutenue par les plus hautes instances de l’État, est un modèle d’engagement et de persévérance dans ce combat quotidien pour l’équité et la justice économique.
La détermination de l’IGF à agir comme un rempart contre les abus financiers est un message clair : la tolérance zéro envers la corruption est une priorité absolue pour garantir le bien-être et le développement durable de la République Démocratique du Congo.
Signé par La Rédaction