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La CENI appelle le Sénat à s’investir pour les réformes électorales afin de permettre l’organisation des élections en 2023

Le président de la chambre haute du parlement, Modeste Bahati Lukwebo s’est entretenu ce lundi 7 mars 2022 avec le bureau de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).

Les échanges ont porté sur le financement des élections et l’accompagnement du Sénat en ce qui concerne les réformes électorales.

Au sortir de l’audience, le président de la centrale électorale, Denis Kadima a indiqué que la nécessité d’organiser les différents scrutins dans le délai constitutionnel dépend grandement du traitement des matières électorales au Parlement, le plus tôt possible.

« Nous avons sorti notre feuille de route. Cette feuille de route parle de l’étape des réformes électorales. Cela va se faire évidemment avec le Sénat jouant un rôle important. C’est parmi les choses que nous avons discutées. Tout cela, pour qu’il y ait un cadre de collaboration assez suivi pour qu’il n’y ait pas de retard ou de problème de qualité dans la gestion électorale », a-t-il dit à la presse.

Pour ce qui est du délai constitutionnel, Denis Kadima fait savoir qu’il « est question d’abord de traiter ces matières à temps ».

« Vous savez que s’il y a un retard (dans le traitement de ces textes, ndlr) ça va affecter nos opérations. C’est pour ça que nous avons voulu juste nous assurer que le président du Sénat, à son niveau, pose des actes qu’il faut pour que nous puissions avoir ces réformes à temps, et ainsi nous pourrons avancer avec le processus électoral », a-t-il martelé.

Signalons que cette visite du tout nouveau bureau de la centrale électorale de la RDC s’inscrit dans le cadre des consultations (des différentes institutions du pays) initiées depuis son investiture. Le parlement est donc la troisième institution consultée après le Président de la République et le Gouvernement.

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