AccueilEn continuSociétéLes clarifications du...

Les clarifications du Ministre de la Communication sur la marche de l’opposition : une réponse aux allégations de manipulation de l’opinion

La marche prévue par l’opposition congolaise a suscité un débat dans la sphère publique nationale. Dans une interview avec un groupe de journalistes, le Ministre de la Communication et Médias et porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya, a apporté des éclaircissements sur plusieurs sujets qui touchent la vie nationale. L’un des points abordés a été le report de la marche de l’opposition.

Malheureusement, certains laboratoires se servent des réseaux sociaux pour manipuler l’opinion en diffusant des allégations trompeuses sur le Gouvernement et les opposants, en particulier Moïse Katumbi. Mais, le ministre Patrick Muyaya a qualifié ces allégations de fausses et a éclairé la population sur la vérité.

Il a rappelé que c’était le Président Tshisekedi, en collaboration avec le Président Kabila, qui avait facilité le retour de Moïse Katumbi au pays après trois ans d’exil en Europe, suite à sa condamnation en République Démocratique du Congo. Le président national du parti « Ensemble pour le Changement » avait obtenu son passeport biométrique congolais à l’ambassade de la RDC en Belgique, avant de revenir au pays en mai 2019, soit quatre mois après l’arrivée de Félix Tshisekedi au pouvoir.

Cependant, certains congolais s’inquiètent du manque de reconnaissance de Moïse Katumbi envers le président actuel, qu’il a récemment appelé « son frère » au sein de l’Union Sacrée. En effet, les citoyens reprochent à Moïse Katumbi d’avoir laissé la province du Katanga dans le chaos après plus d’une décennie de sa gestion. Par conséquent, il ne serait pas en mesure de critiquer à juste titre la situation sociale du pays.

De même, Matata Ponyo est cité dans un dossier de détournement de fonds alloués au projet « Bukangalonzo« . Les congolais ne croient pas qu’il soit légitime pour lui de donner des leçons au gouvernement sur les questions financières.

Quant à Delly Sessanga, il est reproché d’avoir participé aux activités rebelles dans l’Est, qui ont déstabilisé le pays à une certaine époque de son histoire. Les citoyens estiment qu’il est mal placé pour critiquer le gouvernement sur la question de la sécurité, surtout au moment où le Chef de l’État travaille dur pour trouver des solutions diplomatiques et militaires adaptées à la situation actuelle du pays.

En somme, la marche de l’opposition en République Démocratique du Congo soulève de nombreuses questions et préoccupations. Il est important que les citoyens soient informés de la vérité et fassent preuve de discernement pour ne pas tomber dans la manipulation de certaines forces obscures.

Soyez averti chaque fois que nous publions quelque chose de nouveau !

continuer la lecture

Violation des normes aéronautiques : Moïse Katumbi accusé d’exploitation illégale d’une piste d’atterrissage

L'opposant congolais Moïse Katumbi fait face à des accusations graves de la part de l'Autorité de l'Aviation Civile (AAC) en République démocratique du Congo (RDC). Dans une correspondance datée du 3 octobre 2024, l'AAC affirme que Katumbi aurait enfreint l'article 183 de la loi relative à l’aviation civile en exploitant la piste d’atterrissage de Mulendo sans aucune autorisation légale.

Rencontre entre Tshisekedi et Macron à l’élysée : la sécurité de l’est de la RDC au cœur des discussions

Paris, le 04 octobre 2024 – À l’issue d’une visite officielle en Hongrie, le Président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a été accueilli ce matin par son homologue français, Emmanuel Macron, au Palais de l’Élysée. Un échange qui intervient dans un contexte marqué par des tensions persistantes dans l’Est de la RDC et la recherche de solutions pérennes pour rétablir la stabilité régionale.

Les autorités congolaises réduisent le coût des carburants pour soutenir le pouvoir d’achat

Désormais, dans les zones Ouest et Nord du pays, le litre d’essence passe de 3 340 FC à 2 990,49 FC, tandis que le gasoil est réduit de 3 435 FC à 2 979,73 FC, soit une diminution d’environ 13 %. Dans la région Est, le litre d’essence se négocie à 3 776 FC et celui du gasoil à 3 762 FC. Quant à la zone Sud, les prix de l’essence et du gasoil reviennent respectivement à 3 856 FC et 3 923 FC.