Le secrétaire général des Nations-Unies a laissé entendre, dans son rapport au conseil de sécurité que les récentes allégations de détournement des fonds à l’endroit du senateur Augustin Matata Ponyo Mapon et ancien Premier ministre de 2012 à 2016, sont interprétées par une certaine opinion congolaise comme un moyen de neutraliser un potentiel candidat à l’élection présidentielle de 2023.
Antonio Guerres a fait relayé cette opinion dans son récent rapport déposé au conseil de sécurité de l’ONU, en affirmant que les accusations contre Matata ne sont rien d’autres que des allégations sans fondement.
En effet des accusations gratuite envers un redoutable Challenger que le pouvoir de Kinshasa tente à tout prix de soustraire des élections présidentielles de 2023.
L’opinion portée par le peuple congolais selon laquelle le pouvoir en place se fondent sur des fausses accusations pour écarter l’ancien premier ministre Matata est désormais partagée par les Nations-Unies ; lesquelles Nations-Unies à travers son conseil de sécurité sont d’avis aujourd’hui que Kinshasa instrumentalise la justice pour mener ce genre des coups de nature à martyriser les adversaires politiques de taille comme Matata.